Népal Voyages

Mal aigu des montagnes au Népal

Ce qu'il est important de savoir

Le risque de mal aigu des montagnes existe dès que l’on dépasse 2500 – 3000 m. Cela dépend bien évidemment de chaque personne. Les treks au Népal que nous proposons se font en altitude, entre 1000 m et 5500 m. Katmandou est à 1470 m d’altitude, aussi si vous habitez en plaine, vous avez déjà un petit temps d’adaptation.
Si vous n’avez aucune expérience de randonnée au-dessus de 3000 m et que vous ne savez pas comment vous allez réagir au MAM, nous vous invitons à consulter votre médecin pour prendre son avis et vous conseiller.

Par ailleurs, il faut être en bonne condition physique, sans rhume, angine ou problème pulmonaire, les problèmes empirant avec l’altitude.
Il existe des médicaments pour la prévention du MAM et il saura vous les prescrire. Le Diamox est le plus connu, mais il en existe d’autres.

camp de base everest

Les facteurs favorisant le MAM sont :

• La vitesse d’ascension
• L’altitude atteinte (à partir de 2500 mètres pour certaines personnes)
• Le fait de fournir un effort soutenu sans s’être entraîné et acclimaté
• L’altitude du repos nocturne
• Des antécédents de MAM
• La prise d’alcool
• Les somnifères
• Le froid
• Le stress
• La déshydratation

Pour prévenir le MAM, nous vous conseillons de :

• Marcher lentement
• Eviter les alcools et les somnifères
• Etre attentif à ses sensations
• Boire suffisamment

Les symptômes de MAM sont :

• Fatigue très inhabituelle, faiblesse
• Maux de tête persistants, voire se renforçant
• Insomnies
• Manque d’appétit, voire anorexie, nausées, vomissements
• Sensations d’ébriété, vertiges
• Urines rares

trek himalaya

Notre conseil :

Dès que vous ressentez ces symptômes, ne pas hésiter à en parler à votre guide. Sachez que le meilleur remède au MAM est la redescente rapide.
Vous pouvez aussi demander à votre guide de vous commander le remède local : «  La soupe à l’ail ». Elle se mange dans tous les lodges.

Plus d'informations

Vous pouvez vous reporter à la brochure éditée par l’Association pour la recherche en physiologie de l’environnement (ARPE)